Les résultats ouvrent la voie à des études beaucoup plus précises de la structure interne de l’antihydrogène et de son comportement sous l’influence de la gravité
Une nouvelle étude menée à ISOLDE révèle l’absence de signature d’un nombre « magique » de neutrons dans le potassium-51, ce qui remet en question le caractère magique supposé des noyaux à 32 neutrons